En ouvrant la porte, Adrie Busink, 80 ans, n’en croit pas ses yeux. Aux côtés de l’aide-soignante qui vient la voir tous les jours, Maxima des Pays-Bas en personne. "J’ai gagné quelque chose?", demande la vieille dame à un journaliste néerlandais également présent. Autour d’une tasse de café, Adrie Busink confie ses difficultés.
Atteinte d’une maladie pulmonaire et de la maladie de Parkinson, l’octogénaire ne peut plus faire son ménage ou effectuer de simples démarches administratives. Et le coronavirus n’a fait que compliquer les choses. "Parce que les membres de la famille ne peuvent plus entrer chez les personnes, notre rôle est encore plus indispensable, nous devons continuer à venir", témoigne une aide-ménagère.
