À en croire l'expérience de Meghan, épouse du prince Harry, entrer dans la famille royale d'Angleterre n'est pas chose aisée. D'une pièce rapportée à l'autre, les avis divergent pourtant. En témoigne l'intégration de Mike Tindall au sein de la famille royale. L'époux de Zara, fille de la princesse Anne, publie The Good, The Bad & The Rugby – Unleashed le 24 octobre prochain, un ouvrage dérivé du podcast qu'il présente avec Alex Payne et James Haskell, dans lequel il fait quelques révélations sur son arrivée au sein des Windsor.
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C'est le 30 juillet 2011, dans l'église de Canongate Kirk, à Édimbourg, en Écosse, que le joueur de rugby s'est uni à la petite-fille de la reine Élisabeth II et nièce de Charles III. Après 13 ans de mariage et trois enfants, Zara et Mike comptent parmi les membres les plus populaires de la famille royale.
La décontraction et l'enthousiasme de Mike font l'unanimité
Presque un frère pour le prince William, en froid avec le sien, le gendre de la princesse royale est également un grand cousin très présent pour les enfants de ce dernier, George, Charlotte et Louis. Père attentif, il est régulièrement repéré dans les gradins des compétitions hippiques, un enfant dans une main, l'autre sur les épaules, lorsqu'il encourage son épouse, cavalière émérite. Comment Mike s'est-il offert cette place en or ?

Rien de plus élémentaire. "Croyez-le ou non, m'intégrer dans la famille royale a été plutôt facile pour moi. Ils ont toujours été adorables avec moi, et j'ai toujours été gentil avec eux. C'est simple, en réalité". Sous-entendu, il s'agit d'être de bonne composition et de ne pas trop se plaindre, le reste suit. L'allusion est-elle adressée à Meghan ? On pourrait le croire.

"Avec la princesse Anne, nous avons toujours des conversations à propos du rugby dans le Gloucester, comme à propos de l'équipe d'Écosse après chaque match du tournoi des Six nations. Souvent, nous discutons d'un joueur. Elle me dit 'Est-ce qu'il ne devrait pas jouer un peu plus comme ça'. Et je lui réponds, 'vous n'avez pas tort'", explique-t-il dans son livre. Se faire accepter par les Windsor ? De la bonne volonté, du respect et un peu de troisième degré. Le message est passé