Dinis de Bragance
Charmant cadet –Chez les Bragance, il est le dernier de la fratrie. Dom Dinis de Herédia de Bragance, 22 ans, porte le joli titre de duc de Porto. Si son frère aîné, Afonso, prince de Beira, est souvent sur le devant de la scène – surtout depuis qu’il s’est engagé comme pompier volontaire –, son cadet brille par sa spontanéité et son sourire.
Cavalier parfait de l’édition 2018 du Bal des débutantes – il donnait alors le bras à dona Maria do Carmo Calem, petite nièce de la défunte Comtesse de Paris –, le jeune homme étudie l’économie et la sociologie en Belgique.
En janvier 2021, sa famille était invitée à participer à la matinale de TV1, la chaîne de télévision la plus regardée au Portugal. Au journaliste qui demandait si ces princes de la nouvelle génération "pourraient se marier selon leur coeur", dona Isabel, leur mère, a répondu qu’ils avaient bien sûr toute liberté. Un blanc-seing qui ne devrait pas manquer de rassurer quantité de soupirantes…
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Charles Constantin de Habsbourg
On n’est pas sérieux quand on a 17 ans. Fidèle au vers d’Arthur Rimbaud, Charles Constantin de Habsbourg, debout sur son cheval, enchaîne les figures, comme suspendu dans les airs. Le jeune homme – troisième dans l’ordre de succession à l’hypothétique trône impérial d’Autriche et royal de Hongrie – est pourtant loin d’être une tête brûlée.
Adepte de la voltige, une discipline qui mêle équitation et gymnastique de haut niveau, l’archiduc participait aux Championnats du monde junior qui se tenaient au Mans en juillet dernier, portant haut les couleurs de la Hongrie où il est né et où il réside – son père est l’actuel ambassadeur de Hongrie à Paris. Avec son cheval Cornetto, l’adolescent s’est hissé jusqu’en finale… avant de finir bon dernier du top 15 !
Qu’importe, conscient qu’il a encore du chemin à parcourir, Charles Constantin sait aussi se montrer philosophe : "Certes, mon programme libre était loin d’être le meilleur, mais je suis malgré tout heureux de terminer ce Championnat du monde junior à la 15e place. C’était incroyable de concourir, et j’ai hâte d’être au Championnat du monde senior qui aura lieu dans quelques semaines à Budapest."
En attendant, quand il ne monte pas, le prince voltigeur se livre de bonne grâce au jeu des engagements officiels, en parfait arrière-petit-fils du dernier empereur Charles I er, auquel il a rendu hommage en prononçant son premier discours, à la fin de l’été.
Vittoria de Savoie
Future reine d’Italie ? Il y a des cadeaux d’anniversaire qui marquent une vie. Pour ses 16 ans, Vittoria de Savoie a reçu de son grand-père Victor-Emmanuel, prétendant à la couronne d’Italie, les titres de princesse de Carignan et de marquise d’Ivrée, mais surtout, cerise sur le gâteau, l’abrogation de la loi salique ! Une décision "royale" qui la consacre héritière en second après son père Emanuele Filiberto, prince de Venise. La Botte aura-t-elle un jour sa reine ?
L’idée peut prêter à sourire, tant les chances de restauration sont faibles… Ce qui n’empêche pas une partie des monarchistes italiens de faire grise mine: changer les règles de succession au "trône", revient à écarter à jamais la branche Aoste, qui ne manque pas de soutiens. Pour le moment, Vittoria de Savoie ne semble pas souffrir de ces querelles dynastiques.
Silhouette longiligne, moue boudeuse, la princesse s’est dite consciente de l’honneur qui lui était fait, prête à redoubler d’efforts pour être à la hauteur de sa position. Sans pour autant renoncer à une carrière de modèle : l’adolescente a déjà signé avec une agence de mannequins milanaise. Peut-être avant de se lancer au cinéma, en digne héritière de sa maman, Clotilde Courau ?
Boris de Bulgarie
Richard Serra, Vassily Kandinsky, Joan Miró, Donald Judd… Longue est la liste de ses sources d’inspiration. À tout juste 24 ans, le petit-fils du roi Siméon II de Bulgarie impressionne par sa culture artistique. Ancien élève du Lycée français international Molière de Villanueva de la Cañada, tout près de Madrid, le jeune homme a ensuite pris la route de Londres pour étudier au Wimbledon College of Arts, dont il a été diplômé en 2019.
Sculpteur lui-même, il est capable de passer du déconstructivisme russe au design, sans rien renier de son amour des sciences ou de la Formule 1. Un artiste un brin geek, titré prince de Tarnovo à la mort de son père, héritier d’un trône qui n’est plus, prêt à faire son chemin dans le monde de la création.
Alfons de Liechtenstein
De sa mère, la princesse Angela, il a hérité un sourire angélique, de son père, le prince Maximilien, une carrure toute germanique… Premier prince européen métis, Alfons de Liechtenstein, comte de Rietberg, est sans aucun doute l’un des plus beaux partis du moment.
Ce petit-fils du prince Hans-Adam II, actuellement sixième dans l’ordre de succession au trône de Liechtenstein, ne vit pourtant ni à Vaduz, ni à Vienne, mais au Royaume-Uni avec ses parents. Ce qui ne l’empêche pas d’être auprès des siens lors des grandes occasions, comme en 2017 quand la famille princière au grand complet était reçue par le pape François en audience privée.
Mais qui est vraiment ce prince méconnu au charme fou ? Après avoir usé ses fonds de culotte sur les bancs d’un internat allemand, il a rejoint le très chic Wellington College, un établissement que le prince Paul de Grèce et son épouse Marie-Chantal ont également choisi pour leurs enfants Maria-Olympia, Achille et Constantin.
Les passions d’Alfons : le football, le basketball, l’équitation et le ski. Autre atout dans sa manche, l’immense fortune de sa famille, pourtant difficile à estimer, tant la discrétion des Liechtenstein est proverbiale à ce sujet… Riche ou pas, Alfons de Liechtenstein n’a pas fini de faire chavirer les coeurs…
Cassius Taylor
Quand les pubs ont rouvert à Londres, après de longs mois de confinement, il était le premier membre de la famille royale à trinquer ! Cassius Taylor, petit-fils du duc et de la duchesse de Kent, a été surnommé "le roi des rave parties" par les tabloïds britanniques, titre...
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