Trois fautes seulement, contre 75 pour l’empereur Napoléon III. À l’annonce des résultats de la fameuse dictée de Mérimée, Alexandre Dumas fils lance à Metternich, ambassadeur d’Autriche en France : "Quand allez-vous, prince, vous présenter à l’Académie pour nous apprendre l’orthographe ?" Une situation cocasse certes, mais loin d’être étonnante au XIXe siècle. Le français, langue dit-on de la diplomatie, est alors enseigné dans toutes les Cours européennes.

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