À Rome, Gaspar, un plasticien français, et Marya, une œnologue hongroise, se rencontrent autour d’une partie d’échecs. Ils ont chacun l’esprit fin, la langue bien pendue et, très vite, leur affrontement vire au coup de foudre. Si leur histoire débute à la perfection, elle n’est cependant pas une priorité. Marya ne reste que quelques jours dans la capitale italienne, où elle est venue enquêter sur son histoire familiale. Ce roman charme par son érudition, son rythme, ses zeugmes et anagrammes, sa singularité.

Partie italienne, d’Antoine Choplin, Buchet-Chastel, 176 p., 16,50 euros.